Chant quinzième – Chamade lyrique.
À Louisa Ste Storm et Evelyne « Salope » Nourtier.
Amour ! Je vous vois, mon tendre amour
Et de mes peines j’oublie le contour
Le tourment, Bois je touche ! Car ce jour
Encore s’offrir à s’aimer toujours.
Chamade lyrique au creux du cœur
De mon âme. Fébriles féeries, bonheur !
Aimée de vos doux bras j’entends sans peur,
Des anges en forêt des loups, le chœur.
Dans les cieux bleus de vos yeux y voler.
Dans vos boucles blondes, y nager !
Si cela venait à me fuir, déjà
Je crains de l’amour la longue saignée.
Alors, ne pouvant plus être percée
Du chœur des anges. Voyez calciné
Le bois de notre passion incendiée
Morne-fendue, moi, j’irai esseulée.
en vers arithmonymes de 10
Notes :
Ce chant m’a été révélé suite à la lecture d’un très joli poème naïf que m’a confié Posch-Lyn –jeune poétesse de la région de Saint Amand-les-Eaux qu’à l’occasion, l’on peut croiser près du lieu-dit le Moulin des Loups-. Ici, aussi, je tiens à livrer que Posch-Lyn m’a envoyé par courriel, son émouvant poème, le jour même où dans ma boîte aux lettres tombait le beau recueil « LOUISA suivi de derniers poèmes » d’Evelyne « Salope » Nourtier que me transmettait Ivar Ch’Vavar.
Louisa Ste Storm & Evelyne ‘salope’ Nourtier : Deux personnages tenant une place de toute première importante dans l’œuvre du poète franco-picard : Ivar Ch’Vavar.
Le Moulin des Loups : Le Moulin des Loups est le nom d’un quartier populaire de la ville de Saint Amand.
Ivar Ch’Vavar : Poète majeur des siècles 20 et 21 et du nord de la France, de la Grande Picardie Mentale. Egalement il paraît intéressant de noté qu’il est l’oncle de Konrad Schmitt.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire